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Libre. Ecrire sur les chemins du monde, par Frédéric Pie

A 52 ans, Frédéric Pie décide de changer radicalement de vie. L’entrepreneur arrive à céder sa société en difficulté et prend une décision radicale: se débarrasser de tout ses biens pour limiter ses possessions à ce qui tient dans un sac de voyage,
et partir. Loin. Pour découvrir le monde et écrire.
Il n’est pas millionnaire. Loin de là. Mais il lâche tout et part. Pendant presque trois ans, il parcourt l’Océanie et l’Amérique du Sud accompagné de ses auteurs préférés: Bobin, Neruda, … Partout, il écrit.
Mais nous sommes loin du simple récit de voyage: au fil des kilomètres, en voiture, en bus, en moto, l’écrivain prend le dessus sur le
voyageur. A travers l’Océanie (Nouvelle-Calédonie, Nouvelle-Zélande, Australie) puis l’Amérique du Sud (Mexique, Guatemala, Honduras, Equateur, Pérou, Chili, Argentine), il construit un récit nourrit de littérature, de poésie, d’imaginaire, de philosophie et de découverte des autres comme des lieux.
Une qualité littéraire dans la ligne des maîtres Bouvier et Chatwin: un écrivain est né.

Libre. Ecrire sur les chemins du monde,
de Frédéric Pie.
484 pages, 22 €.

Pour le commander, cliquez ici.

On ne voit plus la mer, par Renaud Gaultier.

Un artiste décide de s’implanter dans un village désert l’hiver, balnéaire l’été. Un beau jour, il propose d’installer une œuvre conceptuelle sur la lande au bout d’une pointe, entre granit et sable fin. C’est alors tout un milieu qui entre en ébullition. De controverses en polémiques, certains passent rapidement à l’acte. Et c’est violent.

C’est l’histoire d’un regard sur ce qui fait notre relation au monde, le nôtre et celui des autres, qui apparemment n’est pas toujours le même.

Renaud Gaultier est un artiste plasticien. Il raconte ici ce qui lui est arrivé, alors qu’il s’était installé dans un petit village du Finistère et qu’il y avait développé une de ses oeuvres en bord de mer, avec l’accord de toutes les autorités officielles. Un récit fort, engagé. Il revient sur cette expérience violente, inatendue et terriblement personnelle, qui l’a profondément marqué, et essaie de comprendre ce monde qui s’échappe, avec la mer à proximité, puissante et apaisante.

On ne voit plus la mer, par Renaud Gaultier.
228 pages. 19 €.

Illustré par des dessins originaux de l’auteur.

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