En traduisant le libre de Rob greenfield, j’ai aimé particulièrement un paragraphe où il dit:
« Embrasser la vie, peu importe ce qu’elle envoie sur votre chemin. Embrasser la météo, qu’il pleuve ou fasse soleil. La pluie, la neige, le brouillard, les rayons de soleil, les nuages gris ou blancs éthérés ; tout cela est beau et a une raison d’exister sur cette Terre et pour nous, les humains qui l’habitons. (…) La vie est une question de perspectives. Changez votre perspective aujourd’hui et vous vivrez dans un nouveau monde demain. »
C’est ce je vais essayer de faire devant cette dramatique épidémie. Quand elle sera passée, elle laissera derrière elle des tragédies (les morts) et de l’espoir. Car elle aura montré au monde, aux humains, qu’on peut se passer d’aller tous les jours dans des magasins acheter la dernière nouveauté, que cela n’est pas très grave si Apple décale la sortie du dernier téléphone, qu’on peut faire appel à ses voisins pour partager des produits de première nécessité, qu’on peut rester chez soi à discuter avec sa famille, à partager de bons moments, plutôt que d’aller traîner dans un centre commercial, et qu’on peut aussi moins se déplacer, rester dans son quartier ou son village plutôt que prendre l’avion pour l’autre bout du pays ou du monde, que le télétravail, ça marche, que les visioconférences, ça marche, etc…
Bref, ce virus va, peut-être (un ami un jour m’a dit que j’étais un « indécrottable optimiste »…), apprendre au monde la modération. Cette modération indispensable pour baisser nos émissions de CO2 et espérer tenir un réchauffement climatique supportable pour les humains.
« Changez votre perspective aujourd’hui et vous vivrez dans un nouveau monde demain », écrit Rob Greenfield?
Si seulement cette pandémie, qui va faire baisser les émissions mondiales de CO2 avec une redoutable et redoutée efficacité, pouvait aussi nous ouvrir les portes d’un nouveau monde, un monde où nous ferions baisser volontairement les émissions de CO2, et non plus sous la contrainte d’une pandémie…
(je sais que l’image n’a rien à voir, mais elle est belle. Question de perspective…)